Bivouac sur une vire, mal au dos au réveil et abandon.
Après une première journée d'escalade et de hissage de sac, on arrive au bivouac épuisé.
Les 7a étaient ultra-durs.
Au réveil, on a mal au doigt et on est démotivé devant les difficultés qui restent encore devant nous.
Après le petit déj, nos regards se croisent avec Stéph : on pense la même chose...
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